Hommage d'un rêve teinté de rose

Dans un moment d'inspiration, j'ai écris ces lignes sur du papier brouillon trouvé un peu partout autour de moi... J'ai retrouvé ces gribouillis et j'ai décidé de le partager ici, avec vous.


"Dans cet océan de Vie, je suis tombé de tout mon long à savourer le moment jusqu'à ce que je fonde en toi à oublier le temps.

Dans chacun de tes gestes je me rappellais sans cesse tout l'amour et le respect que j'ai toujours eu pour toi une année après l'autre. Ta peau lumineuse et soyeuse, tes regards et tes baisers sans fin m'ont enivré au plus haut point. Me laisseras-tu t'aimer enfin comme tu le mérites ô Mon Amour?

Dans tes bras je sens que je vis et respire le bonheur à deux, simple et épanouissant. Ta liberté je la comprends et la respecte mais ma douleur réside dans la peur de te voir partir et endormir ces moments si précieux que nous avons vécu.

Le fantasme est tel que j'ai la prétention de croire que tu ne pourras te passer de mon amour pour le reste de ta vie et qu'enfin je puisse trouver le réconfort dans mes angoisses auprès de toi en qui j'ai toute ma confiance. Avec qui je n'ai pas peur d'être qui je suis..

Mon amour, mon doux mon tendre mon merveilleux amour, de l'aube clair jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore... tu sais, je t'aime ... Comme disais Brel.

Puisse l'avenir me réserver cette belle histoire d'amour auprès de toi mon Ange. Ais-je raison de croire en nous? À ce que j'ai vue dans tes yeux? Mes paupières se ferment sur un voile teinté de tristesse car je sais que c'est une histoire...

Ô mon amour... que la Vie à tes côtés me manque! Une brume m'envelloppe au souvenir de tes mains... Touche-moi encore mon coeur, ma peau brûle et la chaleur dans mon corps est telle que je n'arrive plus à respirer sans l'une de tes douces caresses. Ton rire résonne encore en mon sein et j'entends fredonner cet air mélancolique qui vient de ton coeur pour me dire combien tu m'aimes. Certes... je rêvasse mais combien de gens peuvent se vanter d'avoir déjà connu le véritable amour? Moi, je le peux. "